Sans lendemain, vraiment?

 

Lors du Gala de la première édition du festival international du court métrage en Outaouais, le mercredi 27 mars dernier, j’ai eu la chance de visionner 2 de mes films sur écran géant.

Ce fut une expérience inoubliable!

Tout d’abord, mon film Sans lendemain avait été choisi dans la compétition officielle du FICMO, ainsi que mon film Fatalité. Ma coréalisation La guidoune de St-André, fut sélectionnée hors compétition.

J’étais donc extrêmement heureux que trois de mes films soient choisis, ce qui voulait aussi dire qu’ils seraient présentés, chacun, lors de deux occasions, en première partie d’un long-métrage de la sélection du Festival du film de l’Outaouais.prix_ficmo

Cette surprise fut vite déclassée lorsque j’ai vu les autres films qui avaient été retenus en compétitions; des productions avec de plus gros budgets, des acteurs connus et des réalisateurs connus. J’ai souvent eu tendance à rire des gens émus qui disaient lors de certains galas, que le seul fait d’être en compétition était déjà un honneur; j’ai réalisé comment ça peut être vrai!

Ensuite est arrivée la nouvelle que mon film Sans lendemain était retenu dans la sélection du jury. Sur la centaine de films reçus par le FICMO, 40 furent choisis en compétition, et de ce nombre, 14 en sélection finale. Il fut donc présenté à la soirée de gala.

Et l’annonce est tombée; mon court-métrage gagnait le prix L’effet court, remis par le jury au meilleur court-métrage produit majoritairement dans la région de la capitale nationale du Canada ET par une équipe majoritairement composée par les gens de notre région. Ce prix est remis suite à la décision d’un jury reconnaissant l’excellence de ce court-métrage.

Et de plus, une autre surprise m’attendait, mais ça c’est une autre histoire!

 

P.s crédit photo Eric Beaudoin.